Sous l’œil complice de la grande ourse, Mes doigts se glissent sur ta peau douce.
Je te contemple je te caresse, Et dans ce temple je me confesse.
Sous ton nombril comme une ombrelle Ma main fébrile suit le doux fil Qui la conduit vers ta chapelle… (x2)
Comme deux blancs chevreaux de cachemire Tes seins se dressent dans la vallée. La nuit tombée, pour m’endormir, Je compte leurs grains de beauté…
Mes lèvres embrassent tes cicatrices, Mes doigts s’immiscent dans ton palace.
Ton corps docile presque tranquille, À mon appel s’offre et ruisselle.
Et là devant le saint des saints Au Sphinx gardien du lieu sacré, Je fais l’offrande de mes baisers… (x2)
Comme deux blancs chevreaux de cachemire Tes seins se dressent dans la vallée. La nuit tombée, pour m’endormir, Je compte leurs grains de beauté…
Sous l’œil complice de la grande ourse, Mes doigts se glissent sur ta peau douce.
Je te contemple toi ma prêtresse, Et dans ton temple je me confesse.
Sous ton nombril comme une ombrelle Ma main fébrile suit le doux fil Qui la conduit vers ta chapelle
Là je m’abreuve à ton missel, Fruit de délice et de cannelle.
Et je m’enivre à ton calice, Dans la soie pure de ton palais.
Entre tes deux colonnes nues De ma langue je m’insinue Pour goûter encore à tes mets…
REFRAIN (je compte et recompte leurs grains de beauté)
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