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Le roman d'un salopard

 

Vous connaissez forcément Stéphane Baldot ! Comment pourrait-il en être autrement ?Stéphane est un auteur arrogant, un scénariste odieux, et écrivain à succès.Son confort financier lui permet une générosité qui n'est que matérielle.

Éric, son frère, est son exact opposé. Discret, modeste et attentionné. Il se dévoue à ceux que Stéphane méprise. Marié à Sandrine et père d'un enfant, il a repris l'entreprise familiale. Éric fait ce qu'il doit, souvent ce qu'il peut, pour tenter d'exister. Depuis toujours, il a appris à vivre en arrière-plan, acceptant le rôle de second choix que la vie lui a imposé.

Stéphane est solitaire, brillant, et égocentrique comme le sont tous les astres. Tout tourne pour et autour de lui, alors que l’ombre d’Éric grandit en silence.

Mais côtoyer d’aussi près le soleil sans penser à se protéger n’est pas sans risque.

« Le roman d’un salopard » est une comédie acide, un drame pétillant, un cocktail Bourbon, Gin, citron vert, bitter, gingembre, menthe fraîche : un « Suffering-bastard » qui frappe à la tête !

Générique

 

Avec : Kévin SÉGUY & Hugo CAGLIANI

Écriture : Kévin SÉGUY & Luc TALLIEU

Mise en scène :  Luc TALLIEU

Affiche et visuels : Romain SARDA

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les Larmes de Freyja

 

Ève et Justine sont deux sœurs, fusionnelles, presque jumelles. Elles sont en couples, heureuses en ménage comme on dit. L’une veut un enfant, viscéralement, furieusement et l’autre se sent submergée par ses différentes maternités et ne veut plus en entendre parler.

Dans «Les larmes de Freyja», le rapport à la maternité est abordé sous deux angles opposés, et curieusement complémentaires.

L’envie profonde de Justine est de retrouver la femme enfouie sous la mère… Le désir naturel d’Ève de devenir mère, est devenu une obsession.

«Les larmes de Freyja» est une épopée mystique sur la maternité, un drame humoristique.

 

Générique

 

Avec Sarah LAFARGE, Christelle MESTRE et Stéphane DELAGE

Ecriture et mise en scène Luc TALLIEU

Décor, création lumière : Luc TALLIEU / Benjamin SERRA
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Dossier de Presse

 

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Vivere Libero

(Vivre libre)

 

Vivere Libero, ce sont les obsessions et le choix de vie d’Éva, mère et fille des femmes d’aujourd’hui et de toujours. Une philosophie de vie de l’une d’Elles qui trouve qu’il y a trop d’angles dans ce monde carré, carrément oppressant. Mais la fenêtre est ouverte, la caresse du vent peut s’y engouffrer pour arrondir les aspérités et donner à Éva de l’air frais…L’histoire est profonde, mais terriblement légère et drôle en même temps. Le fil de narration est original et multiple… Le Théâtre, le Cinéma, la Danse, le Clown, le Mime, tous ces arts jouent comme un seul homme pour une Femme, seule en scène !« Moi qui me sentais coupable, découpable, prédécoupée ; j’étais en vie… Heureuse, Libre… »******

Cette pièce à fait l’objet d’une résidence technique au C.A.B. à Bouloc (31).   Grand merci à Alexandre Breme pour l’accueil,  à Yves-Marie Corfa et à tous les stagiaires pour leur créativité et leur soutien.
Les photos ci-dessous ont été prises lors de cette résidence.

https://www.cadredescene.com/

 

Générique

 

avec : Caroline PASTISSIER

écrit et mis en scène par : Luc TALLIEU

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Production:  Cie L'assoc'à la Ciboulette

 

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HÉTÉRORISME

 

« HÉTÉRORISME » met en scène Stéphane, un jeune quadra qui voudrait nous faire croire qu’il a grandi comme un Bonzaï, écrasé par le poids d’une société intolérante… Mais il n’en est rien, Stéphane est un homme épanoui dans sa vie et dans sa sexualité ; un doux révolté qui ne veut pas être la victime d’un monde majoritairement hétérosexuel qui prône violemment la normalité.

 Que se passerait-il si la normalité était inversée ? Les hommes, les mentalités, même les films Hollywoodiens seraient tout autre…« HÉTÉRORISME » est une réflexion humoristique et bien informée sur la condition d’un Gay qui revendique son droit à l’indifférence.​

Générique

 

Une pièce écrite par Luc TALLIEU

Inspirée et interprétée par Stéphane DELAGE

Mise en scène : Luc TALLIEU
sous le regard éclairé de Jean-François DUVAL

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Dossier de presse
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L' homme qui voulut être Don Quichotte

 

Don Alonso Quijano est un vieil homme qui vit dans la Mancha, une province du centre de l’Espagne. Sa vie est monotone et quelconque, jusqu’au jour où l’impossible arrive : Le chevalier Amadis de Gaule, le héros de ses livres de chevalerie se met à lui parler !

« Le seigneur de tous les chevaliers qui étaient au monde de son temps » Amadis, remet en cause la tranquillité du vieil hidalgo et l’encourage à prendre les armes pour poursuivre la mission que lui même n’a pas pu terminer avant de mourir.   

Accompagné de son fidèle écuyer Sancho Pança et animé de l’amour dévorant pour Dulcinée du Toboso, celui que l’on nommera dorénavant Don Quichotte de la Mancha, le chevalier à la triste figure part à l’aventure pour combattre des chimères et des géants aux bras de moulins à vent...

NOTES D’INTENTION de l’Auteur :

L’idée n’a pas été d’adapter le Don Quichotte de Cervantès à la lettre, mais plutôt de s’inspirer des personnages, de leurs caractères tels que l’auteur a choisi de les présenter, et d’essayer de comprendre leurs motivations. C’est cet angle-là qui m’a intéressé.  J’ai choisi de raconter ce qui n’est pas écrit dans le roman, en répondant notamment à cette question : Pourquoi un vieil homme décide-t-il de partir à l’aventure « si tard » ?  Quel a été le moteur d’une telle décision ?  L’influence de ses lectures sûrement.  D’où l’idée d’imaginer ce qu’aurait pu être la rencontre chimérique et fantaisiste de Don Alonso Quijano avec le Chevalier Amadis de Gaule, le héros de ses chers livres de chevalerie.

Finalement, Don Quijano veut devenir Don Quichotte pour être comme son modèle.  Il veut jouer à être son héros comme un enfant qui mettrait la panoplie qu’il a commandé pour Noël. Et comme n’importe quel enfant, il va dans la rue pour jouer avec ses copains.

- « Je serais le Chevalier Amadis et toi mon écuyer… »

- « Et pourquoi c’est toujours toi qui fais le chevalier ? »

- « Parce que. »

Dans « l’homme qui voulut être Don Quichotte » il y a aussi des moulins/géants comment faire sans ?  On y retrouve Dulcinée évidemment, ce serait dommage de s’en priver. Dans cette pièce, il manquera forcément des scènes que les fidèles attendent (Don Quichotte vit tellement de choses) ou peut-être d’autres en trop (des libertés qui choqueront peut-être les mêmes fidèles) ; par exemple ‘le chevalier de la blanche lune’ et celui ‘aux miroirs’ fusionnent pour partager un message qu’ils avaient finalement presqu’en commun.

En Espagnol « mancha » veut aussi dire « tâche », comme celle qu’on peut avoir sur l’honneur.  En nommant son héros Don Quichotte de la Mancha, Cervantès a fait un jeu de mot entre la province où vit son personnage et la tâche d’honneur ; ce n’est pas un hasard et forcément, il fallait s’en inspirer.  S’inspirer également de sa liberté…

Générique

Ecrit et mis en scène par  Luc TALLIEU

d’après les personnages de Cervantès
et sous le regard d’Amadis de Gaule

Trois pièces vont être montées par Monsieur Amélie en 2020, notamment une avec un autre héros émérite (et susceptible) : le troublant Chevalier d'Éon...

Don Quichotte & Sancho devront donc patienter encore un peu, avant de fouler les planches...

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